Une pochette... et s'en suit la censure.

  Bon nombre d'artistes ont été au cœur de polémiques justifiées ou non. Chaque artiste plus ou moins engagé, ou tout simplement provocateur, a eu son lot de sujets de controverse. Les textes ne sont pas les seuls à faire l'objet de manifestations à leur encontre.


  Certaines pochettes d'albums ont fait les frais de la morale. Alors certes, certains artistes ont tout simplement été interdits de vente, localement ou mondialement, mais c'est sans penser aux autres, qui, sous la pression, ont préféré céder et changer de pochettes pour commercialiser leur album malgré tout. Et ceci implique même les plus grands noms de la musique. Voici quelques exemples avec les pochettes qui ont fait scandale :

The Beatles - Yesterday And Today - 1968
La Butcher Cover est une partie intégrante de la légende des Beatles.

Alice Cooper - Love it to Death - 1971

La main d'Alice Cooper a été censurée, jugée trop suggestive.

John Lennon et Yoko Ono - unfinished Music N°.1 : Two Virgins - 1968

Kanye West - My Beautiful Dark Twisted Fantasy - 2010
Cette dernière censure (ou la pochette c'est selon)  a défrayé la chronique récemment.

  Oh, bien sûr, il y en a tant d'autres, et tous les genres musicaux peuvent y avoir leur place. Mais le rock et le rap sont deux genres qui prêtent bien à la provocation. On aurait pu ajouter à cette liste Jimi Hendrix, The Rolling Stones, Scorpions, etc. 

  Ce qu'il faut retenir, c'est que, finalement, ce qui fait la légende, c'est ce qui fait parler.

Le Petit Plus Qui Tue :

  Il n'y a pas qu'avec leurs textes et leurs pochettes que les artistes musicaux sont confrontés à la censure. En 1976, cette pub pour Perrier a attisé les foudres de la Régie Française des publicités, ancêtre du CSA pour ce qui concerne les réclames televisuelles et radiophoniques, et nous la devons a un certain Serge Gainsbourg. Cette pub a même été reprise il y a un peu plus d'un an par la marque, comme un clin d'œil. Les amateurs apprécieront.